mardi 30 décembre 2008

lundi 29 décembre 2008

cote d'opale en hivers


cote d'opale en hivers, première mise en ligne par pyer2paris.

vive le vent d'hivers

jeudi 25 décembre 2008

jeudi 18 décembre 2008

Museé Guimet la photo du jour


Museé Guimet, première mise en ligne par pyer2paris.

Musée Guimet

a visité absolument !!!

le disco du jour


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dimanche 14 décembre 2008


Paris Tour Eiffel et métro


Paris Tour Eiffel et métro, première mise en ligne par pyer2paris.

Tour Eiffel sur seine


Tour Eiffel, première mise en ligne par pyer2paris.

vendredi 12 décembre 2008





L'avenir des réserves des musées parisiens se précise


Christine Albanel s'apprête à choisir la ville qui accueillera le grand pôle de conservation du Louvre, d'Orsay et de cinq autres institutions.

Où mettre les réserves des musées ? Confrontés à un risque de débordement de la Seine, sept des plus grands musées de France (et peut-être aussi Beaubourg) sont engagés depuis six mois dans un projet de centre de conservation et de réserves : entre 86 000 et 150 000 m², où non seulement sera stocké ce qui n'est pas exposé, mais où se trouvera aussi un important département de restauration. Cerise sur le gâteau, une partie de cette caverne d'Ali baba, qui ouvrira ses portes en 2013, sera accessible au public.

Pour l'instant, le Louvre, Orsay, les Arts décoratifs, l'Orangerie, l'École des beaux-arts, le Quai Branly et le Musée Picasso stockent une partie de leurs réserves dans leurs murs et une autre dans un bâtiment parisien que son propriétaire, la Caisse des dépôts, veut reprendre. De nombreux rapports ont pointé cette dispersion, ainsi qu'une gestion obsolète des réserves. « Le sys­tème implique beaucoup de transport : ce n'est pas l'idéal pour la sécurité », concède l'administrateur d'un musée. Christine Albanel a promis de prendre une décision sur le lieu d'implantation du centre d'ici à la mi-janvier : elle doit recevoir aujourd'hui un rapport d'étape pour prendre sa décision. Quinze villes avaient postulé et beaucoup (dont Versailles, Caen ou Châtillon-sur-Seine) ont été éliminées pour des raisons d'éloignement, ou parce que les communes ne souhaitaient pas s'impliquer financièrement. Le budget du centre (200 M€) sera financé grâce à l'argent qu'Abu Dhabi a versé pour l'exploitation du label Louvre, mais les musées escomptent une participation de la commune.

3 000 et 5 000 objets « hors norme »

Le Louvre compte y déménager près de 25 000 m². « Ce qui a de la valeur est accroché au mur. Mais nous avons en réserves des œuvres mineures d'écoles de grands peintres ou encore de longues séries d'objets antiques », explique-t-on au Louvre. Le Quai Branly possède entre 3 000 et 5 000 objets « hors norme » - d'immenses barques arctiques ou de grandes sculptures - destinés à partir en banlieue. Situé dans un hôtel particulier, le Musée Picasso va déplacer les 4 000 œuvres de Picasso qu'il ne peut exposer, faute de place, ainsi que les 200 000 documents d'archives (photographies ou lettres) du peintre. Les Beaux-Arts ont « énormément d'œuvres académiques » et de moulages. Les Arts décoratifs, « la totalité du fonds des Musées de la mode, et de la publicité, des céramiques, des tapisseries et des jouets anciens ».

Bref, on ne doit pas s'attendre à la « révélation » d'un Rembrandt caché jusqu'à maintenant dans une pièce sombre. Mais le public pourra voir quelques curiosités - comme une copie du portique de l'Érechthéion, un des temples de l'Acropole d'Athènes, en parfait état alors que le monument s'est dégradé, lui, au fil du temps. Des affiches ou des lettres, qui ne supportent pas une exposition prolongée à la lumière, pourront aussi être montrées occasionnellement. « Pour les chercheurs, qui aiment travailler sur des séries, le centre sera fondamental », promet Hervé Barbaret, administrateur au Louvre. Il fait ainsi valoir une collection d'ostraca (des tessons de poterie utilisés dans l'Antiquité comme support d'écriture) qui pourrait faire la joie des égyptologues du monde entier.



le fig

jeudi 11 décembre 2008

mercredi 10 décembre 2008


arc du carousel et musée du louvre


arc du carousel, première mise en ligne par pyer2paris.

Musée du louvre


vue sur la galerie du bor de l'eau, première mise en ligne par pyer2paris.

Musée du louvre


détail salle du louvre, première mise en ligne par pyer2paris.

Musée du louvre


détail salle du louvre, première mise en ligne par pyer2paris.

mardi 9 décembre 2008

eiffel color


eiffel color, première mise en ligne par pyer2paris.

Paris de demain


immeuble, première mise en ligne par pyer2paris.

mértopolitain en action


viaduc d'austerlitz, première mise en ligne par pyer2paris.

Flickr

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transport à risques



L'Observatoire national de la délinquance (OND) dévoile...... Au palmarès des lignes à risques, la ligne 4, entre Porte-d'Orléans et Porte-de-Clignancourt, concentre, à elle seule, près d'un cinquième du total des vols commis dans le métro (1 372 vols sans violence et 169 vols violents en 2007). Elle est aussi la championne des violences et menaces (52 plaintes).

La ligne 1, entre La Défense et Château-de-Vincennes, la suit de près pour les vols (919 plaintes). Et la ligne 5, entre Bobigny et Place-d'Italie, pour les vols violents (130 plaintes). La ligne 13, entre Saint-Denis et Châtillon-Montrouge, s'illustre au plan des violences (44 agressions et menaces recensées). Il ne s'agit là que des faits portés à la connaissance des autorités. Selon l'OND, deux tiers des faits de violence ne sont généralement pas signalés.

Les criminologues de l'OND ont aussi porté leur regard sur la banlieue. Ils relèvent que les lignes A (Saint-Germain-en-Laye - Marne-la-Vallée) et B (Roissy - Saint-Rémy-lès-Chevreuse) sont surtout exposées aux vols sans violence, tandis que les lignes C (Versailles-Dourdan) et D (Orry-la-Ville - Melun) concentrent la moitié des violences commises dans le RER.

Sur les quelque 20 000 plaintes prises en compte dans cette étude, l'essentiel (70 %) portent sur des vols sans violence. Suivent les vols avec violence (23 %) et les violences physiques et sexuelles (7 %). Paris est plutôt exposée aux vols (68 % du total) et la banlieue aux agressions, l'usage de la violence y étant fréquent à l'occasion des vols. Les horaires les plus «criminogènes» se situeraient dans la fourchette d'affluence, de 17 à 21 heures.

Baisse de la délinquance

Plus étonnants sont les enseignements sur la physionomie des victimes. Car la proie idéale dans le métro n'est pas, comme certains le pensaient, de préférence une femme âgée, donc vulnérable. L'OND nous apprend, au contraire, que les victimes sont en majorité des hommes (53 %), surtout s'agissant des vols avec violences et des violences et menaces (73 %). Près d'une victime sur deux a moins de 30 ans.

Selon l'OND, un peu plus de 40 % des victimes de vol se sont vu subtiliser leur portable, souvent avec violence. Pour une victime sur trois, ce sont la carte bancaire, les papiers d'identité ou l'argent liquide qui disparaissent, souvent à l'occasion de vols à la tire. Les ados sont particulièrement exposés, puisque près de 78 % des hommes mineurs victimes de vols se font dérober leur téléphone portable et 16 % leur baladeur numérique. La plupart des vols ont lieu dans une rame alors que les violences se déroulent plutôt sur le quai ou dans la gare.

La délinquance dans les transports a cependant diminué de 15,6 % entre 2002 et 2007 en région parisienne. Selon la Préfecture de police de Paris, la baisse, attribuée à la création d'un service régional de police des transports, est même supérieure à 42 % dans la capitale.


le figaro